




Ils incarnent un mystère ancien, entre verticalité, mémoire et force vitale — des silhouettes oniriques qui invitent au voyage, à la contemplation, et à une connexion plus profonde avec le vivant.






L’arche, présente dans plusieurs œuvres, est comme une porte silencieuse — un seuil entre les mondes : du dedans et du dehors, du visible et de l’invisible. Elle incarne un passage, une invitation à franchir le mystère qui relie notre monde intérieur à celui de la nature.
































